Lisa-Marie Gaspar
Animée par une envie d’aider les autres, Lisa rejoint l’équipe d’Un Enfant par la Main et met sa motivation et sa détermination au service des enfants.
Sa mission :
- mettre en œuvre la stratégie de communication de l’Association,
- développer la notoriété d’un enfant par la main auprès des médias,
- nouer des partenaires privés,
- animer les réseaux sociaux ou encore publier des contenus sur le site de l’association.
Lisa travaille pour faire connaître l’Association et partage avec vous, les belles histoires de réussite d’enfants parrainés mais également d’engagements de parrains et donateurs.
Vous avez envie de témoigner, contactez-la, elle trouve toujours les mots pour raconter votre histoire et susciter des émules afin d’aider toujours plus d’enfants.
Utiliser les mots comme remède aux maux des enfants était une évidence, me lever chaque matin pour donner du sens à ma vie, et à celle de milliers d’enfants dans le besoin, une nécessité.
C’est la femme que j’étais en train de devenir qui m’a poussé à rejoindre la famille d’Un Enfant par la Main.
Communiquer oui, mais pas à n’importe quel prix, seulement à celui qui améliore des vies.
Sa devise : « Le courage et la persévérance sont des talismans magiques devant lesquels les difficultés disparaissent et les obstacles s’évaporent ! »
Portrait vidéo de Lisa-Marie Gaspar
7 questions posées à Lisa-Marie Gaspar
Un Enfant par la Main a décidé de vous présenter qui sont celles qui chaque jour travaillent pour améliorer le quotidien des enfants. Aujourd’hui, au détour de 7 questions, on vous présente Lisa Gaspar et son histoire !
Quel était ton rêve, petite ?
Petite, je voulais devenir gymnaste professionnelle et jusqu’à l’âge de 14 ans, j’y ai vraiment cru.
Malheureusement, je n’ai pu atteindre que la finale des championnats de France en catégorie « cadette ».
Ce jour de compétition fut aussi le dernier jour où j’ai pratiqué ce sport. La gymnastique était une passion qui m’animait. Après m’être blessée au genou, mon rêve est lui resté inachevé, mais pas ma volonté de me dépasser !
Enfant, à qui voulais-tu ressembler ?
Je n’ai pas le souvenir de vouloir ressembler à quelqu’un en particulier.
Mais, si je me repenche dans mes souvenirs d’enfant, je dirai sans aucun doute à Nadia Comaneci, la première gymnaste de l’histoire olympique à obtenir la note parfaite de 10.0 pour sa performance aux barres asymétriques.
Si tu étais un moment de la journée, quel serait-il ?
Celui du câlin avec ma petite fille avant de démarrer ma journée, et celui où je me connecte à ma boîte mail au bureau et où je découvre chaque jour, des messages de parrains, de donateurs, de sympathisants qui témoignent avec vérité et générosité de leur engagement auprès de l’Association.
Pourquoi avoir choisi de travailler chez Un Enfant par la Main ?
C’est la femme que j’étais en train de devenir qui m’a poussé à rejoindre la famille d’Un Enfant par la Main.
Animée par une envie d’aider les autres, j’ai souhaité mettre ma motivation et ma détermination au service des enfants.
Utiliser les mots comme remède aux maux des enfants était une évidence, me lever chaque matin pour donner du sens à ma vie, et à celle de milliers d’enfants dans le besoin, une nécessité.
Communiquer oui, mais pas à n’importe quel prix, seulement à celui qui améliore des vies.
Quel est ton plus beau souvenir dans l’Association ?
J’ai la chance d’en avoir des dizaines, ils sont tous tournés vers la rencontre avec des parrains, des bénévoles, des mécènes et des médias. Mais, mon 1ᵉʳ souvenir est celui avec l’actrice Isabelle Carré, marraine au Brésil qui a accepté de me rencontrer et d’être interviewée pour parler de son engagement à nos côtés.
Je me souviens de cette rencontre pleine d’humilité, de naturelle et d’émotion !
J’avais face à moi, une femme qui venait d’obtenir le César de la meilleure actrice.
J’ai été très impressionnée par sa douceur et sa sincérité.
Si tu devais te décrire en un seul hashtag, quel serait-il ?
#resiliente
Aujourd’hui, à l’âge adulte, quel est ton souhait ?
Montrer le chemin à ma fille, lui inculquer la bienveillance et l’empathie.
Continuer d’œuvrer comme je le fais, rester fidèle à qui je suis, me rappeler chaque matin que mon travail a du sens, que je ne suis pas seule à y contribuer et qu’il faut être plusieurs à y croire pour y parvenir !
Je ne souhaite pas changer le monde, mais simplement rendre meilleure la vie de celles et ceux, qui, parce qu’à l’endroit où ils naissent, ne sont pas tous égaux en droits !