Nos actions humanitaires au Kenya
Particuliers ou entreprises, vos dons sont déductibles d’impôts
En début de chaque année, notre Association vous enverra un reçu fiscal qu'il ne faudra pas oublier de joindre à votre déclaration d'impôts.
Pour les particuliers
Art. 200 du Code général des Impôts.
Si vous êtes imposable, l'Etat vous accorde une réduction d'impôt égale à 66% du montant du don dans la limite de 20% de votre revenu imposable. En cas de dépassement de ce plafond, vous pouvez reporter l'excédent sur les 5 années suivantes.
Pour mieux comprendre :
- Sur une année, Mme Martin a donné 300€ de dons liés à son parrainage (25€x12)
- Après déduction fiscale, son parrainage lui revient à :
102€ pour 300€ reversés à Un Enfant par la Main.
Pour les entreprises
Art. 238 bis du 1er Code général des Impôts.
Au titre du mécénat, vos versements vous permettent de bénéficier d'une réduction d'impôt sur les sociétés à hauteur de 60% de leur montant, dans la limite de 0.5% du chiffre d'affaires HT (au-delà de 0.5%, ou en cas d'exercice déficitaire, report possible sur les 5 exercices suivants).
Pour mieux comprendre :
- Mr Pierre, directeur de l'entreprise Babus, a fait un don de 3000 € à notre Association.
- Après déduction fiscale, son don lui revient à :
1200 € pour 3000€ reversés à Un Enfant par la Main
Découvrez les actions menées grâce à vos parrainages
Zoom sur nos actions humanitaires au Kenya
ChildFund Kenya est présent dans ce pays d’Afrique de l’Est depuis 1960.
Depuis 1990, Un Enfant par la Main travaille avec ce partenaire kényan pour venir en aide aux enfants et à leurs familles.
Nos actions humanitaires au Kenya se traduisent par la mise en place des programmes d’aide et de développement notamment dans les domaines de l’éducation et de la santé pour les enfants et les jeunes.
37 012 enfants sont inscrits dans ces programmes d’aide et de développement.
A titre d’exemple, voici les résultats de quelques actions menées avec notre partenaire au Kenya :
- Ces programmes d’alimentation complémentaire ont bénéficié à 8295 enfants et adultes
- Des moustiquaires imprégnées d’insecticide ont été distribuées pour les enfants de moins de 5 ans, afin de réduire les cas de Malaria,
- Les écoliers ont bénéficié de la rénovation de leurs classes (amélioration de la ventilation, de l’éclairage, des installations sanitaires),
- Des serviettes hygiéniques ont été distribuées aux jeunes filles afin de limiter notamment l’absentéisme scolaire dû aux cycles menstruels,
- Des programmes de rééducation ont pu bénéficier à des enfants atteints de divers handicaps.
Découvrez les projets menés grâce à vos dons
Nos actualités au Kenya
Le Kenya en 2024
Éducation
Au Kenya, plus de 13% de la population est encore analphabète.
84% des enfants en âge de fréquenter l’école primaire sont scolarisés.
La parité à l’école n’est pas encore respectée.
La scolarité est gratuite au Kenya jusqu’à l’âge de 14 ans.
Mais les parents doivent faire face à certains frais (uniformes, livres).
De plus, la qualité de l’enseignement n’est pas identique dans le secteur public à celle dans le secteur privé.
Santé publique
En 2019, le taux de mortalité infantile est de 41 enfants pour 1000 naissances.
Le taux d’enfants de moins de 5 ans souffrant d’insuffisance pondérale est équivalent à 16,4%.
En effet, les maladies infectieuses représentent un risque élevé pour la population :
- le climat et l’environnement favorisent la dengue et le paludisme,
- les maladies diarrhéiques, l’hépatite A et la fièvre typhoïde transmises par l’eau ou la nourriture sont également très fréquentes.
Le nombre de médecins est de 0,2 médecin pour 1000 habitants ce qui est extrêmement faible. A titre de comparaison, en France, ce chiffre est de 3,5.
Les dépenses du gouvernement en matière de santé sont insuffisantes (4,5% du PIB en 2013).
Aujourd’hui, 41% de la population n’a pas accès à une source d’eau potable améliorée.
68% de la population n’a pas accès à un système d’assainissement, en particulier les populations rurales.
Économie
L’économie repose principalement sur les secteurs des services et de l’agriculture.
La majeure partie de la population travaille dans le secteur de l’agriculture.
Depuis quelques années, le Kenya connaît une croissance économique relativement élevée, notamment grâce :
- à l’amélioration des conditions climatiques,
- et aux nouvelles découvertes de réserves de pétrole et de gaz naturel qui ont dopé les investissements.
Cependant, cette croissance est insuffisante pour améliorer les conditions de vie de la population.
En effet, les inégalités de revenu restent présentes.
Si la pauvreté a diminué ces dernières années, 43% de la population vit encore en-dessous du seuil international de pauvreté (1,25 dollar par jour).
Au-delà de la persistance de la pauvreté, on constate l’émergence d’une classe moyenne qui représenterait 20 % de la population totale et contribue au maintien d’une demande intérieure soutenue.
Depuis plusieurs années, la situation de sécurité alimentaire du Kenya pose problème du fait de périodes récurrentes de sécheresse et d’une organisation du secteur agricole globalement déficiente.